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Dernière Mise à Jour  de cette page

le samedi 9 juin 2007

. On choisit le dossier de destination des images

Le chemin et le nom de la prochaine image enregistrée sont indiqués dans le bandeau inférieur de ImageGrab. Vous voudrez sans doute changer les éléments proposés par défaut. Il convient d'abord d'indiquer le dossier (ou le chemin) dans lequel l'image sera enregistrée. Pour cela cliquez sur le bouton ou tapez CTRL+S au clavier. Vous pouvez alors choisir le dossier de destination. Attention, afin que vous puissiez voir les images qu'il y a déjà dans le dossier, vous aurez à choisir entre bmp ou jpeg et s'affichera alors la liste des fichiers de ce type déjà dans le dossier. Cela vous donnera l'impression de sauver en fait un fichier plutôt que de choisir un dossier, mais vous comprendrez facilement que je l'ai fait exprès.

Si cette méthode, simple en fait et directement accessible depuis l'interface principale de ImageGrab ne vous convient pas, il existe une autre méthode: aller dans les Options en cliquant sur le bouton ou en tapant F10, puis sous l'onglet Avancé. Vous y trouverez une boîte d'édition des dossiers qu'il suffit de manipuler en cliquant sur la petite icone indiquée.

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. Le nom des images comprend une racine, suivie soit d'un numéro, soit du timecode

Une fois le dossier choisi, vous voudrez sans doute contrôler le nom de la future image. Le nom est composé d'une racine à laquelle on ajoutera soit un numéro d'ordre, soit le timecode de l'image.

La racine est en général basée sur un mot que vous indiquez dans les Options, et si vous n'en indiquez pas, ce sera "ImageGrab". Mais si c'est un fichier vidéo que vous avez chargé dans ImageGrab (et non un flux live ou un SVCD), alors la racine sera en principe formée des premières lettres du nom du fichier vidéo, ce qui est plus naturel. Ce comportement est déterminé dans l'onglet Avancé du panneau des Options que l'on affiche soit en cliquant sur , soit en tapant F10.

Regardons cela sur trois exemples:

Dans le 1er exemple, j'ai demandé d'utiliser les noms de fichiers vidéos, donc la racine sera basée sur le nom de la vidéo, ici ballet640.mpg, mais j'ai demandé de n'utiliser que les 8 premiers caractères. Donc la racine utilisée pour toutes les images extraites de cette vidéo sera ballet64

Dans le deuxième exemple, j'ai toujours demandé d'utiliser les noms de fichiers vidéo, mais je ne limite plus la longueur utilisée. On voit alors que toute la longueur du nom de la vidéo est conservée pour les images extraites.

Dans le troisième exemple, je ne demande plus d'utiliser le nom des fichiers vidéo (la case a été décochée sous l'onglet Avancé). Dans ce cas, c'est la racine que l'on trouve sous l'onglet Images qui sera utilisée, ici trucmuche. Comme cette racine est définie manuellement par l'utilisateur (Vous ou Moi), elle sera toujours utilisée en entier, sans être tronquée.

Une fois la racine définie, on choisit soit d'y ajouter un numéro, soit d'y ajouter le timecode. Si c'est le numéro, il convient d'indiquer le nombre de digits (c'est-à-dire de chiffres) qui seront ajoutés. On peut aussi indiquer à partir de quel numéro commencera la série si on ne veut pas commencer par 0. On fait ces changements dans le panneau de Options sous l'onglet Images. On peut aussi demander la numérotation en tapant CTRL+N ou l'ajout du timecode en tapant CTRL+T au clavier.

Toutes les modifications qui affectent le nom ou le dossier de l'image enregistrée, se traduisent en temps réel sur ce nom affiché dans le bandeau du bas. On peut donc immédiatement se rendre compte du résultat.

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. On peut choisir le format des images bmp ou jpg

Il reste à choisir l'extension des images extraites. Elle ne peut être que bmp ou jpg. Selon le cas, l'image enregistrée sera réellement une image bitmap ou Jpeg. On fait ces changements dans le panneau des Options sous l'onglet Images. On peut aussi demander le format Bmp en tapant CTRL+B ou le format Jpeg en tapant CTRL+J au clavier.

Si l'extension jpg est choisie, alors on peut définir la qualité de compression dans le panneau de Options sous l'onglet Images. Cela va de 1 à gauche (le plus comprimé mais avec une image détestable) jusqu'à 100 à droite (pas comprimé et avec une image intacte).

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. Il est facile de voir si on risque d' écraser une image existante

Le bandeau du bas ne se contente pas d'afficher le nom de la prochaine image saisie. Il vérifie aussi si cette image existe déjà sur votre ordinateur (dans le dossier indiqué). Dans ce cas, le bandeau devient rouge pour vous en prévenir. Vous pouvez alors par exemple changer de racine, ou demander que la numérotation commence à un nombre supérieur à ceux qui existent déjà. Vous pouvez aussi passer outre et écraser le fichier existant par celui qui va être extrait. Eventuellement, vous serez une seconde fois averti par un message vous demandant de confirmer que l'image existante doit être écrasée.

Pour vérifier ce qu'est le fichier existant, il suffit de cliquer sur le nom de l'image dans le bandeau du bas, et vous y accéderez directement dans son dossier parent.

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